Je vous avais contacté pour certains conseils autour de la cage de chasteté... Une mauvaise blessure due à un appareil inadapté , m"en prive depuis plusieurs mois . Aussi pour éviter mon auo-satisfaction, j'ai préféré choisir le strict selfbondage. Je passe la plus part de mon temps, attaché, ligoté, sanglé et menotté étroitement sur un siège métallique scellé au sol et enfermé dans un cagibi au sous sol de la maison. Un cagoule integrale cadenassée . En général, je m'y installe vers 13h et en serai libéré vers 21h 21h30. Tout est contrôlé par des cadenas et des serrures électroniques programmables. Je porte toujours mes blouses de nylon vintage complètement boutonnées jusqu'au col claudine superposés ou des chemisiers féminins en satin....culotte bouffante plastique pour éviter les fuites....une fois enfermé dans le cagibi, je n'ai plus la possibilité d'en sortir et dois attendre le déverrouillage électrique de la lourde porte. Je passe alors a mon sanglage et ligotage sur le siège. La taille et très serieusement serrée par une large ceinture cadenassée en deux points aux montants latéraux du siège. Un anneau fixe a l'arrière de la centure reçoit la sangle des chevilles tirées en arrière sous l'assise m'empêchant de poser les talons au sol. Mes genoux sont reliés par une sangle fortement serrée passant dessous et dessus .impossible d'écarter les jambes. Mon appareil est prisonnier de la culotte et entre les cuisses....Déjà, je sens l'excitation bien plus que présente . Je programme le cadenas électronique sur 7,8 ou 9 heures de pénitence . Je réajuste le col des blouses, vérifie que tout est parfaitement boutonné. Je prends un dernier souffle avant d'enfiler et de cadenasser confortablement la cagoule . Dans l'obscurité la plus totale j'enserre mes poignets délicatement ,un a un , cran par cran dans le dos .sans oublier d'enfoncer les petities sécurités à l'aide d'un petit outil spécifique. Les clefs libératrices ne seront disponibles qu'après l'ouverture du cadenas électronique programmé. Une cordelette reliée aux clefs et au siège me permettra de les récupérer, une fois le cadenas ouvert... En attendant et en pénitence, je ne peux qu'apprécier ,réfléchir et méditer sur ma condition... l'excitation est immense , j'ai l'impression de me tordre dans mes liens, mais rien n'y fait... je n'ai aucune possibilité de me satisfaire et c'est : bien fait !!!!! Juste le cliquetis des entraves, le grincement du cuir des sangles et le bruissement agréable du nylon... Je suis en transe. Juste une petite pendule vocale équipée d'un bip m'indiquera toutes les heures et demi-heure . J'ai déjà fait sans, au début de ma pénitence et j'avoue que j'étais complètement déstabilisé....

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